tiens c'est rigolo j'ai un copain qui écoutais ce disque à longueur de journée
J'adore cette musique entre jazz-rock et rock psychédélique, impros sans fin :love: :love:
sinon le futur arcade fire est écoutable ici
Kelle musik écoutez vous donc ? 4.0
- Créateur du sujet teo
- Date de début
sinon le futur arcade fire est écoutable ici
J'adore cette musique entre jazz-rock et rock psychédélique, impros sans fin :love: :love:
Ce n'est pas mal, mais j'aime surtout le nom du groupe,
Ce n'est pas mal, mais j'aime surtout le nom du groupe,
On ne la retrouve pas dans l'édition CD, mais le verso de la pochette du 33 trs portait une mention du type 'Ce disque n'est ni une invitation à fumer du haschisch ni une apologie de la drogue, juste un groupe de musique, etc.'Ben voyons
Avec tes conneries, je viens de le racheter sur le store, c'est dire si on est cons parfois... mais c'est quand même pas mal...
Avec tes conneries, je viens de le racheter sur le store, c'est dire si on est cons parfois... mais c'est quand même pas mal...
Et donc,n'oublie pas les attributs qui vont avec (voir plus haut)
:love: Pour le coup, je met Led Zep
, suivi de Jan Hammer (The first Seven Days):love: Quoi dire de Jan Hammer, qu'il a joué avec un peu près tout le monde dans le monde du JazzRock, ce qui doit suffir pour "prouver" son indispensabilité
(ça existe ça?)Si vous connaissez pas, à conseiller
Superbe album. Le LP est magnifique… du moins la pochette. C'est ma dernière frustration de vide-greniers. Levé à 5h00 du mat' pour aller à la chasse au vinyles, je tombe dessus.
J'adore cette musique entre jazz-rock et rock psychédélique, impros sans fin… :love: :love:
Febrile, je le prends en main et le renifle.
Aucune odeur d'humidité. C'est bon signe.
Je prends le disque à l'intérieur, et là, horreur. Un album des who à la place. Je demande alors au vendeur si il sait où se trouve le disque qui va avec son emballage.
Il ne se souvient que d'avoir vendu cet album des who 2 ans auparavant.
Si quelqu'un le revend, j'achète.
Allez, tiens, pour me venger je ressors ça :
In-A-Gadda-Da-Vida, par Iron Butterfly. :love:
Ennio Morricone - Veruschka
L'une de ses plus belles BOF datée de 1971, un des plus groovy aussi avec toujours une orchestration magnifique et des voix féminines superbes d'émotion.
Aimer Morricone c'est s'attaquer à une montagne sans fin; entre 65 et 75 il a produit ce qui se fait de mieux en musiques de film (et même en musique tout court) et je ne parle pas des classiques archi connus du western spaghetti.
:style:
L'une de ses plus belles BOF datée de 1971, un des plus groovy aussi avec toujours une orchestration magnifique et des voix féminines superbes d'émotion.
Aimer Morricone c'est s'attaquer à une montagne sans fin; entre 65 et 75 il a produit ce qui se fait de mieux en musiques de film (et même en musique tout court) et je ne parle pas des classiques archi connus du western spaghetti.
:style:
Et hop encore une BO, celle-ci de Les Baxter en 69.
Groove, funk, grosses basses, rythmiques qui claquent, quelques parties chantées.
Indispensable.
:style:
Groove, funk, grosses basses, rythmiques qui claquent, quelques parties chantées.
Indispensable.
:style:
Surtout le coté avec la version longue, assez mpressionant comme ils arrivaient à tenir 17 minutes (si mes souvenirs sont bons) ça doit être le "sweet smokeSuperbe album. Le LP est magnifique du moins la pochette. C'est ma dernière frustration de vide-greniers. Levé à 5h00 du mat' pour aller à la chasse au vinyles, je tombe dessus.
Febrile, je le prends en main et le renifle.
Aucune odeur d'humidité. C'est bon signe.
Je prends le disque à l'intérieur, et là, horreur. Un album des who à la place. Je demande alors au vendeur si il sait où se trouve le disque qui va avec son emballage.
Il ne se souvient que d'avoir vendu cet album des who 2 ans auparavant.
Si quelqu'un le revend, j'achète.
Allez, tiens, pour me venger je ressors ça :
In-A-Gadda-Da-Vida, par Iron Butterfly. :love:
. J'avais le vinyl, malheureusement il a peri (avec pleins d'autres) dans une inondation:hein: Il me reste qu'une version mp3
Marrant mais cette pochette "improbable" au look psyché des années 70 me fait penser tout à coup à un concept musical (installé alors en France) qu'un pote d'il y a un bail m'avait fait écouter.
Je ne parle pas de comparaison musicale, n'ayant pas écouté "Iron Butterly" mais d'impression sonore que je pourrazis ressentir au vu de ladite pochette.
Rââh, bon sang !... Je ne me souviens plus du groupe conceptuel mais je peux dire qu'il était bien barré dans ses délires; absolument pas médiatisé mais très connu "dans les milieux autorisés" et faisait dans la musique fonfon expérimentale, genre...
Je cherche. Je cherche...
GONG !
Ouéééé ! © EvilPNMI (un pote), j'ai retrouvé le nom du groupe.
Bon. Somme toute, les pochettes ne se ressemblent pas vraiment. Comme quoi, les impressions...
/me sauve
Je ne parle pas de comparaison musicale, n'ayant pas écouté "Iron Butterly" mais d'impression sonore que je pourrazis ressentir au vu de ladite pochette.
Rââh, bon sang !... Je ne me souviens plus du groupe conceptuel mais je peux dire qu'il était bien barré dans ses délires; absolument pas médiatisé mais très connu "dans les milieux autorisés" et faisait dans la musique fonfon expérimentale, genre...
Je cherche. Je cherche...
GONG !
Ouéééé ! © EvilPNMI (un pote), j'ai retrouvé le nom du groupe.
Bon. Somme toute, les pochettes ne se ressemblent pas vraiment. Comme quoi, les impressions...
/me sauve
A
Anonyme
Invité
Tiens, une suite de pochettes qui m'amènent à celle-ci:
Brainticket , 1971
Là ils se sont également donnés pour le warning du verso:
Liner notes: Listen to the first recording of this LSD/Hashish/Fixy/Jointy Sound. Take a trip into your inner light. See the hallucinations of reality rise out of the groove. You've got your Brainticket now! Hallelujah.
Advice: After listening to this record, your friends won't know you anymore.
Warning: Only listen once a day to this record. Your brain may be destroyed. Hallelujah records takes no responsibility.
Ceci dit, une B-Side haletante, cambriolage foireux - sirènes / poursuite - traque ... on s'y croirait. Le bonheur pr une descente en Bad T quoi.... :rateau:
Brainticket , 1971
Ben voyons…
Là ils se sont également donnés pour le warning du verso:
Liner notes: Listen to the first recording of this LSD/Hashish/Fixy/Jointy Sound. Take a trip into your inner light. See the hallucinations of reality rise out of the groove. You've got your Brainticket now! Hallelujah.
Advice: After listening to this record, your friends won't know you anymore.
Warning: Only listen once a day to this record. Your brain may be destroyed. Hallelujah records takes no responsibility.
Ceci dit, une B-Side haletante, cambriolage foireux - sirènes / poursuite - traque ... on s'y croirait. Le bonheur pr une descente en Bad T quoi.... :rateau:
Et hop encore une BO, celle-ci de Les Baxter en 69.
Groove, funk, grosses basses, rythmiques qui claquent, quelques parties chantées.
Indispensable.
:style:
C'est tout à fait le style de son que je recherche en ce moment.
Mais je ne trouve aucun site où écouter quelques extraits de cet album et encore moins sur l'Itunes Store... :mad:
Je me connais, ça va virer à l'obsession.
Vite un lien, j'ai besoin d'un lien ! :hosto::hosto::hosto:
Je re écoute beaucoup depuis 10 jours The Orb et leur (meilleur ?) album The Orb's Adventures Beyond The ultraworld.
J'ai du lire une critique en 1991 ou début 92 et j'ai acheté le double CD au VirginMegastore de Sydney en juillet 2002. Cet album a un peu l'effet madeleine, même si je ne l'ai écouté qu'à mon retour, mais il me fait penser non pas aux ciels d'Arizona* mais à ceux de Western Australia. Ambient music comme on dit. C'est pas Brian Eno (Music for Airport, découvert récemment :love mais c'est terriblement efficace.
Un bruit d'avion dans le ciel, une voix féminine* très nasale, qui se souvient, elle aussi, de lieux superbes: je suis transporté dans un désert, un bush un peu herbu, tendance rouge et vert sombre avec des nuages qui filent, des couleurs qui changent, une sérénité, des couchers et des levers de soleil, en accélérés ou à vitesse réelle, une paix assez étonnante. Des images filmées par Gus van Sant dans My Own Private Idaho ou Gerry ? une ambiance de monde en gestation, 500 millions d'années avant ou après la venue de l'humain sur la terre, ça fourmille de vies. Soleil et oxygène.
Cet album m'a fait découvrir le dub. Les dubs de The Orb. C'est reposant. Bondissant. C'est parfait quand on se pose, quand on a trop chaud, qu'on transpire et qu'on a juste envie de savourer une limonade ou verre d'eau gazeuse, à l'abri des décibels ou pour s'endormir en musique. Chill out.
Tout l'album part au travers de l'ultramonde, au delà des étoiles. Si j'ai eu Youri Gagarine comme avatar c'est aussi pour ces samples de dialogues entre astronautes, les extraits du film Flash Gordon ou de voix de propagande soviétique (?) ou de textes tirés de la Bible. La vision de la Terre d'en haut doit avoir un effet euphorisant, c'est clair, il n'y a qu'à écouter les voix.
Des bruits de mer, de vent, de voitures. Un éther musical. Un voyage. Odeurs de sons fraichement coupés, ambiance de printemps ensoleillé, abeilles ou bourdons dans les fleurs, poissons multicolores jaillisant dans l'onde, cet album est poésie.
Milles ambiances, milles évocations Les titres sont eux-même des voyages en puissance Little Fluffy Clouds, Earth (Gaia), Supernova At The End Of The Universe, Back Side Of The Moon (les Floyd sont des références à peine voilées, comme reprises plus tard dans la pochette dont parlait Bompi), Spanish Castles In Space, Perpetual Dawn, Into The Fourth Dimension, Outlands, Star 6 & 7 8 9, A Huge Evergrowing Pulsating Brain That Rules From The Centre Of The Ultraworld.
Ce double album est une merveille :love:
* le titre comporte un sample d'une interview de Rickie Lee Jones qui parle de ses souvenirs des ciels d'Arizona
J'ai du lire une critique en 1991 ou début 92 et j'ai acheté le double CD au VirginMegastore de Sydney en juillet 2002. Cet album a un peu l'effet madeleine, même si je ne l'ai écouté qu'à mon retour, mais il me fait penser non pas aux ciels d'Arizona* mais à ceux de Western Australia. Ambient music comme on dit. C'est pas Brian Eno (Music for Airport, découvert récemment :love
mais c'est terriblement efficace.Un bruit d'avion dans le ciel, une voix féminine* très nasale, qui se souvient, elle aussi, de lieux superbes: je suis transporté dans un désert, un bush un peu herbu, tendance rouge et vert sombre avec des nuages qui filent, des couleurs qui changent, une sérénité, des couchers et des levers de soleil, en accélérés ou à vitesse réelle, une paix assez étonnante. Des images filmées par Gus van Sant dans My Own Private Idaho ou Gerry ? une ambiance de monde en gestation, 500 millions d'années avant ou après la venue de l'humain sur la terre, ça fourmille de vies. Soleil et oxygène.
Cet album m'a fait découvrir le dub. Les dubs de The Orb. C'est reposant. Bondissant. C'est parfait quand on se pose, quand on a trop chaud, qu'on transpire et qu'on a juste envie de savourer une limonade ou verre d'eau gazeuse, à l'abri des décibels ou pour s'endormir en musique. Chill out.
Tout l'album part au travers de l'ultramonde, au delà des étoiles. Si j'ai eu Youri Gagarine comme avatar c'est aussi pour ces samples de dialogues entre astronautes, les extraits du film Flash Gordon ou de voix de propagande soviétique (?) ou de textes tirés de la Bible. La vision de la Terre d'en haut doit avoir un effet euphorisant, c'est clair, il n'y a qu'à écouter les voix.
Des bruits de mer, de vent, de voitures. Un éther musical. Un voyage. Odeurs de sons fraichement coupés, ambiance de printemps ensoleillé, abeilles ou bourdons dans les fleurs, poissons multicolores jaillisant dans l'onde, cet album est poésie.
Milles ambiances, milles évocations Les titres sont eux-même des voyages en puissance Little Fluffy Clouds, Earth (Gaia), Supernova At The End Of The Universe, Back Side Of The Moon (les Floyd sont des références à peine voilées, comme reprises plus tard dans la pochette dont parlait Bompi), Spanish Castles In Space, Perpetual Dawn, Into The Fourth Dimension, Outlands, Star 6 & 7 8 9, A Huge Evergrowing Pulsating Brain That Rules From The Centre Of The Ultraworld.
Ce double album est une merveille :love:
* le titre comporte un sample d'une interview de Rickie Lee Jones qui parle de ses souvenirs des ciels d'Arizona
Pour changer un petit peu, du rock italien Luciano Ligabue s'est lance dans une carriere de chanteur de rock a 30 ans, et ma foi ca lui a bien reussi. Le groupe qui evolue avec lui change pas mal, donc Luciano reste bien la piece centrale, avec sa voix chaude et rocailleuse comme on aime les latins. Cet album, Fuori Come Va, est mon favori : sorti en 2002, on le trouve dans de nombreuses cremeries de plusieurs pays.
Ligabue a depuis sorti Nome e Cognome en 2005, et edite quelques DVD de ses concerts. En 2005, au Campovolo de Reggio Emilia, Ligabue a chante devant 180000 personne : c'est le record europeen devant un public payant pour un artiste en solo. Meme si on s'en moque pas mal au final
Luciano Ligabue s'est lance dans une carriere de chanteur de rock a 30 ans, et ma foi ca lui a bien reussi. Le groupe qui evolue avec lui change pas mal, donc Luciano reste bien la piece centrale, avec sa voix chaude et rocailleuse comme on aime les latins. Cet album, Fuori Come Va, est mon favori : sorti en 2002, on le trouve dans de nombreuses cremeries de plusieurs pays.Ligabue a depuis sorti Nome e Cognome en 2005, et edite quelques DVD de ses concerts. En 2005, au Campovolo de Reggio Emilia, Ligabue a chante devant 180000 personne : c'est le record europeen devant un public payant pour un artiste en solo. Meme si on s'en moque pas mal au final
A
Anonyme
Invité
