Elle parle bien, Rickie ! C'est beau comme tout.Q: What were the skies like when you were young?
A:They went on forever. When I, when we lived in Arizona the skies always had little fluffy clouds in them. And they were long and clear and there were lots of stars at night. And when it would rain they would all turn . . . they were beautiful, the most beautiful skies as a matter of fact. The sunsets were purple and red and yellow and... on fire. And the clouds would catch the colors everywhere. That's unique, 'cause I used to look at them all the time. You don't see that..."
Et toi-z'aussi, Teo. Cet album, je l'ai écouté des dizaines et des dizaines de fois, entre groove et ambiant, dub et electronica. Effectivement, peut-être le plus beau de The Orb (mais les derniers montrent un net regain de forme).
Rien que ces avions qui passent ... Je me souviens très bien qu'à l'époque je furetais à la FLAQUE ou ailleurs tous les midis (:siffle et ce jour-là je cherchais quelque chose d'un peu différent.
Le vendeur (sympa, un type cool) me dit : The ORB. Huh ? À écouter dans le noir, tranquille. Ah ?
Je ne remercierai jamais assez ce brave garçon !
Les ciels que décrit RLJ évoquent tout aussi bien ceux d'Australie, dont il semblerait qu'ils soient infinis, sans même d'horizon, zébrés de nuages, d'un blanc qui tranche sur le bleu métallique du ciel. Ou encore dans les hauts plateaux andins, dans l'air si pur du désert d'Atacama, avec, au loin, les fumerolles qui s'accrochent au sommet des volcans.
Merci pour ce précieux rappel