Mouahahahahahahahahahahaa !! C'est à pleurer
De rire et de tristesse. Dire qu'on m'accuse (sûrement, je n'en ai pas la preuve formelle
) de m'acharner sur l'autruche alors que ceux qui en abusent le plus sont ses mentors
Que je vous re-situe le contexte... je vais prendre mon temps, j'exulte littéralement
Le château qui connut des heures de vraies gloires se meurt à petit feu de la maladie de la guerre intestine. Tout un chacun se chamaille à grand coup de posts vindicatifs et accusateurs qui n'avaient pour unique principe que d'être compréhensible par les personnes peu nombreuses qui les proféraient. Elles devaient être deux tout au plus, trois les jours fériés. Bref. Le peuple (vous l'appelez comme ça, et finalement, pour être crédible je me prête au jeu) par des conversations privées dont je garde la trace s'en plaint. L'armée fait une première apparition et redonne un semblant de calme, faisant taire les trublions.
Malheureusement, les membres joueurs, las de ces querelles usantes et puériles aux formes et fonds aussi abscons qu'un post de Jean-Miche répondant à Michel Nascar, ne s'intéressent plus à la vie politique du château. Un semblant de flottement feule embrume les bureaux de votes, des programmes électoraux placardent leur vide insipide, et les discussions enflammées laissent la place à des retranscriptions de réunions Tupperware©. Un soubresaut toutefois mène à la tête du château une chef de liste au programme libertin et rafraîchissant et le commun des mortels (dont nous sommes, n'en doutez pas un instant) peut croire benoîtement que le bouzin est reparti comme en 14. Or, la gangue fangeuse du désintérêt civique a raison des efforts de la base, et
l'élite instigatrice du château lui-même elle-même doit trouver une nouvelle solution pour faire perdurer l'aventure de leur pouvoir. Tirer les ficelles c'est bien, mais quand le bouchon de la gaule ne bouge plus, c'est le Capitaine Bigleux qui doit faire la bouffe. Fi de la nourriture spirituelle congelée, il est temps d'agir : saper le château, le pousser du pied vers les abysses, et réapparaître en sauveurs, blancs comme des linceuls propres et lavés au savon de Marseille, et auréolés de cette gloire, jouir d'une notoriété enfin revenue.
Pour ça : quelques pistes. Les fachos verts en donnent une. Dans leur première menace de putsch qui n'est pas allée jusqu'au bout, l'élite voit le feu qui procurera les cendres d'où renaître. Il faut un vrai putsch, et à l'aide du con con, reprendre les rennes du pouvoir. Pour cela, rendre le château insipide, voire, accepter d'aller jusqu'à le transformer en terrain de flood afin d'exaspérer la junte et lui faire commettre "l'irréparable"...
Le but étant clair pour tout le monde, je vous narre juste les faits qui s'en suivirent : élection d'Odré pour un tour où le vide consternant a lutté avec l'amusement moqueur de l'électorat unanime... et dans la foulée, mise au pouvoir par le truchement du chambellan, d'un monarque fantoche, gentil, amusant mais sans grand fond. La démocratie était morte, et personne n'a fait mine de s'en apercevoir
Je passe sur les tentatives des autres candidats qui, croyant original de plagier le règne et le programme dit de la chambre rose en surenchérissant, n'ont fait que transformer un érotisme fédérateur en démonstration libidineuse à la lecture pénible pour certains (plaintes reçues par mp gardées précieusement également. Un ami archiviste m'a beaucoup appris sur l'observation de mon prochain, même si force est de constater aujourd'hui que son art n'a fait que croître et embellir au fil des mois :love: ). Bref. La déroute. Le beau jouet POPULAIRE (dans le sens qu'il appartient à tout le monde, et par extension et application au thème, au peuple) est cassé. Pire. Des gens sans scrupules jouent avec ses restes. Ça me rappelle les gosses qui jouaient sur les champs de bataille toutsi/houtou en piquant les casquettes et les armes des morts. Ça peut petre dangereux, et pour eux en priorité. Bref. La junte ne pouvait laisser les choses en l'état, et
l'élite l'avait prévu. Rassurez-vous, nous le savions
Nous putschâmes, avec plaisir. Nous guerroyâmes, avec vigueur, transformant comme il fut dit par ailleurs, une tâche administrative en jeu docile. C'est de bonne guerre, me permettrais-je
Et ne voilà-t-il pas que le prévisible s'avère,
l'élite qui avait prévu putsch, renversement et rébellion de longue date sort des textes préparés à cet effet, reprend la gestion/gérance du sus-dit bouzin et s'apprête à nouveau à diriger la barque de la façon dont elle le décide. Le souci, c'est que cette fois, il nous semble qu'elle commence par la phase de destruction. La nouvelle reine mise en place a des relents de déjà
déchue vue, et arbore fièrement les cordes nouvelles et blindées cette fois qui la font se mouvoir ne voyant pas que ses alliés (
l'élite, si vous suivez
) la mènent au doigt et à la baguette. J'avais lu un truc avec un doigt qui montre la lune, mais j'ai la délicatesse (passagère, rassurez-vous) de ne pas m'en rappeler
Brèfle. Vous êtes très forte madame
l'élite. D'ailleurs, vous qui êtes plurielle, je vous ai exclusivement toujours admirée. Sachez-le et soyez-en convaincue tous. Toute. Toutes. Enfin, vous savez quoi
Ce texte n'est donc là que pour vous assurer qu'aussi stupides que nous paraissions, (enfin, je devrais peut-être dire "je", je suis quand même celui à qui le qualificatif s'applique le plus
) nous vous savons gré de vos efforts d'animation de ces lieux. Ils vous doivent beaucoup et nous aussi.
Par contre, cette fois-ci, ne cassez pas tout hein ?
Bisous bisous :love: