A
Anonyme
Invité
Pas plus de temps, mais différent, si tu piges, à la place de laisser les rouleaux au coursier,kyman a dit:si vous passez plus le temps sur le mac qu'a la prise de vue,bonjour la rentabilité :hein:
et de n'avoir qu'un relatif droit de regard sur les planches, tu "développes" sur ta bécane au
journal, et tu n'envoies que les deux ou trois propositions qui te plaisent sur l'imprimante du
rédac chef et les fichiers sur le serveur, là je trouve que c'est une indépendance agréable, si
ce n'est que c'est à toi de les traiter, c'est archivé tout de suite sur la base, ça prend une demi
heure pour 3 ou 4 photo/jour (disons 16 fichier), et tu n'as pas à y revenir.
Remarques aussi le coté économique, à coté de la facture mensuelle d'un tireur.
Les boitiers font la même durée qu'avant, le parc optique est constitué, et les ordinateurs
sont là de toute façon (tirage ou pas) pour centraliser les données, tu ajoutes la license Photoshop.
Je ne vois pas ou c'est plus cher.
kyman a dit:Le photographe c'est vous, alors si le numérique coute plus cher en temps et en argent pour obtenir un bon tirage expliquez-moi pourquoi cet engouement pour le numérique.:heu:
Disons que ça représente une attention de tous les instants sur toute la chaine graphique, mais c'est aussi une grande liberté
à condition de ne pas sauter une étape (ce que je disais dans le post plus haut).
Engouement ou pas, nouveau sur un circuit que je découvre, les agences demandent si tu livres en numérique,
et si en plus tout est nickel, commentaires, description, mots clé... enfin du tout prêt à mettre sur leur base,
tu as de grandes chances d'éveiller leur curiosité. Parce qu'à la base leur boulot c'était pas de numériser leurs "archives" non plus.
En tout cas les premiers contacts se font toujours sur lecture d'un book, donc la référence est bien le tirage papier.