Côté cuisine…

le RAW n'est pas plus ou moins souple que le Jpeg mais il est plus complet au niveau des infos contgenu dans le fichier... En effet c'est le fichier brut contenant TOUTES les infos, on peut donc jouer sur l'exposition a posteriori par exemple, chose impossible sur un Jpeg (tu vas l'éclaircir ou l'assombrir mais pas jouer complètement sur l'expo...)

Mais en jpeg aussi mon bonhomme :p:D dans la limite du possible. Car si ta photo n'a pas une bonne expo elle est bonne à jeter ! La retouche ne vaut pas la peine.

Mais si tu souhaites t'enquiquiner la vie :zen:
 
le RAW n'est pas plus ou moins souple que le Jpeg mais il est plus complet au niveau des infos contgenu dans le fichier...

...

:zen:

Oui, c'est comme ça pour moi. Excepter le fait que tu peux retoucher l'exposition du jpeg. Mais tu perds trop d'infos et tu perds des détails (d'où l'intérêt de travailler en 16 bits) : dans les ombres si tu l'augmentes et dans les clairs si tu la réduis. C'est le cas aussi en RAW, mais c'est moins dramatique. Mieux, tu améliores la qualité de l'image si tu réduis l'exposition...
 
Je ne parlais pas de définition, mais de richesse des détails dans les différents niveaux. Le jpeg qui sort du boîtier est déjà post-traité. Les deux éléments les plus importants sont déjà opérés : Réduction de la gamme couleur (au mieux Adobe RGB) et surtout passage du Gamma 1 au Gamma 2 (voir ce qu'on peut y faire suivant l'exposition dans l'exemple du goéland plus haut dans ce fil). Je ne te parle pas du renforcement et autres divers traitements.
Fait comme moi, essaye, suis bien les instructions de base du dérawtiseur, compare avec le JPEG... Tu vas voir, c'est le jour et la nuit.

16 777 216 couleurs me suffisent largement en RVB (= RGB) :D

En argentique, une fois que tu as les tirages papier, tu jettes les négatifs ? ;)

Je garde toujours mes fichiers jpg brut :p
 
Mais en jpeg aussi mon bonhomme :p:D dans la limite du possible. Car si ta photo n'a pas une bonne expo elle est bonne à jeter ! La retouche ne vaut pas la peine.

Mais si tu souhaites t'enquiquiner la vie :zen:

En fait un dérawtiseur, c'est fait pour tirer les photos :siffle: Donc ça te place les commandes faites pour ça et que celles faites pour ça et dans le bon sens en plus (lorsqu'il est bien pensé). Donc, c'est super rapide... bon d'accord, si tu as la machine qui va bien :D :D :D
 
odré;3949411 a dit:
Mais en jpeg aussi mon bonhomme :p:D dans la limite du possible. Car si ta photo n'a pas une bonne expo elle est bonne à jeter ! La retouche ne vaut pas la peine.

Mais si tu souhaites t'enquiquiner la vie :zen:


je le disais dans le sens ou le RAW permet de jouer sur l'expo sans perte d'info pas comme le Jpeg "ma grande" ;) :p
De plus comme le dis sirdeck essaie un dérawtiseur et tu verras par toi même... En fait le RAW permet beaucoup, beaucoup, beaucoup plus de finesse dans tous les réglages proposé...:siffle: :rolleyes:

...et aussi une photo mal exposé (à moins que ce soit superplusextremement important) je la jette que ce soit en jpeg ou en RAW
 
...et aussi une photo mal exposé (à moins que ce soit superplusextremement important) je la jette que ce soit en jpeg ou en RAW


Tout dépend de ce que tu appelles mal exposer. Si tu as perdu beaucoup d'informations dans les ombres (écrêtage dû à une sous-exposition) là, c'est grillé. Par contre, il faut beaucoup brûlé les hautes lumières pour que ça parte à la benne.

Une photo raw bien exposée pour moi, c'est une photo dont la courbe est bien calée à droite dans le profil Prophoto RGB (cela semble totalement cramé en sRVB). Du coup, en général, l'aperçu jpeg sur le dos du boîtier présente une photo mal exposée, surexposée. Forcément, je brackette énormément.

Pour moi, travailler en Raw, ce n'est pas comme travailler en argentique. Tu n'exposes pas suivant la lumière incidente mais suivant les capacités du capteur à gérer la lumière qui lui arrive dessus. Pour une lumière donnée, le réglage de l'exposition varie suivant le sujet.
 
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Réactions: Ed_the_Head
Pour moi, travailler en Raw, ce n'est pas comme travailler en argentique. Tu n'exposes pas suivant la lumière incidente mais suivant les capacités du capteur à gérer la lumière qui lui arrive dessus. Pour une lumière donnée, le réglage de l'exposition varie suivant le sujet.

Ouh la.... Il va falloir que tu me donnes des cours... :heu:
 
Ouh la.... Il va falloir que tu me donnes des cours... :heu:



Tu peux commencer par voir ces trois posts. Le dernier est très illustré et je te conseille de refaire par toi-même ce qu'il expérimente.

Une tentative d'explication (je rappelle que je ne suis pas pro.)
Cela provient du fait que le capteur génère une image en gamma 1...

Je résume ce que j'en sais maintenant que j'ai un peu pratiqué le numérique...

Je me rends compte que comme ça, c'est théorique. Pour bien se rendre compte de ce que l'on rate en n'utilisant pas le RAW un chouille surexposé, une illustration est nécessaire...


:zen:
 
Je sais pas pour vous, mais moi, les recettes de Sirdeck je les adore. :zen:
 
En parlant de RAW, pour le mariage que j'ai couvert et dont je ferais petit débriefing bientôt, j'ai utilisé le raw pour les photos dont je ne "sentais pas" la balance des blancs, ç-à-d chez la mariée pour la préparation et pour la commune. J'ai très bien fait. :D
Pour le reste en jpeg et je ne le regrette pas, c'est ok. :up:
Bref, les deux formats sont bien.
Le raw demande + de "travail" mais le résultat est top. :up:
 
Que peux t'on faire en termes d'exposition ou d'heure, pour s'en sortir mieux que moi dans cette situation ?

247547280_5f6827949b.jpg

Les blancs sont cramés, et l'ombre, bof.
 
Tu dois avoir possibilité de réduire le contraste dans les réglage de ton APN. Ca peut servir dans ce cas.
Si non bien sur l'idéal est de shooter en RAW pour ces lumières difficiles. Tu peu faire varier les contraste et autre de façon beaucoup plus puissante qu'avec un jpeg.
 
Que peux t'on faire en termes d'exposition ou d'heure, pour s'en sortir mieux que moi dans cette situation ?
...
Les blancs sont cramés, et l'ombre, bof.

À mon avis, le mieux est d'attendre qu'il fasse moins beau :D
Plaisanterie mise à part, d'une part je trouve qu'elle n'est déjà pas si mal (pour avoir fait de l'argentique dans le coin, comme tu sais, je vois bien le problème :D). Ça m'intéresse aussi de savoir si on arrive à ruser plus (pour le jour où je serai numérisé). D'un autre côté, si on vire la violence du contraste, on perd un peu l'ambiance. Alors, peut-être le bon chemin, c'est de trouver le cadrage qui pemet aux ombres d'aider l'image et non de la griffer. Mais ça dépasse largement mes capacités. :D Cet été, j'ai fait des photos dans un coin sur le bord du Méjean avec arbres et rochers, une vraie catastrophe :D
 
idem. et puis les blancs cramés de cette manière, c'est pas vraiment grave :D Je ne pense pas que tu aies choisi la bonne photo pour illustrer le problème :D

sinon, sur toshop, il y a la fonction shadow / highlights - tons clairs/foncés (à utiliser avec retenue) qui permet de déboucher les ombres (si tu veux éviter de cramer des hautes lumières sur une scène très contrastée, tu vas avoir des parties trop sombres)
 
Que peux t'on faire en termes d'exposition ou d'heure, pour s'en sortir mieux que moi dans cette situation ?


Les blancs sont cramés, et l'ombre, bof.

Alan te dirait : " revient à un meilleur moment" :D :D

L'heure changera la position de l'ombre. Tu peux attendre le passage d'un nuage et déclencher en rafale lorsque le bord du nuage passe sur le soleil. Mais si tu te fous de l'ombre, tu peux attendre d'avoir un ciel bien bouché pour obtenir une lumière bien diffuse (un régal en paysage). Tu peux également essayer le crépuscule et sa sublime lumière :up: :up:

Pour ce qui est de Toshop, lorsque la plage d'exposition du capteur est dépassée, tu écrêtes dans les sombre et dans les clairs : tu perds de l'info et photoshop ne peut pas te l'inventer :D :D :D
 
Tu dois avoir possibilité de réduire le contraste dans les réglage de ton APN. Ca peut servir dans ce cas.
Si non bien sur l'idéal est de shooter en RAW pour ces lumières difficiles. Tu peu faire varier les contraste et autre de façon beaucoup plus puissante qu'avec un jpeg.

J'ai trouvé le réglage, effectivement.... (Paramètres N°2 sur mon 350D).

À mon avis, le mieux est d'attendre qu'il fasse moins beau :D
Plaisanterie mise à part, d'une part je trouve qu'elle n'est déjà pas si mal (pour avoir fait de l'argentique dans le coin, comme tu sais, je vois bien le problème :D). Ça m'intéresse aussi de savoir si on arrive à ruser plus (pour le jour où je serai numérisé). D'un autre côté, si on vire la violence du contraste, on perd un peu l'ambiance. Alors, peut-être le bon chemin, c'est de trouver le cadrage qui pemet aux ombres d'aider l'image et non de la griffer. Mais ça dépasse largement mes capacités. :D Cet été, j'ai fait des photos dans un coin sur le bord du Méjean avec arbres et rochers, une vraie catastrophe :D

Je suis rassuré, finalement ma question n'était peut être pas si ras de terre. :D

idem. et puis les blancs cramés de cette manière, c'est pas vraiment grave :D Je ne pense pas que tu aies choisi la bonne photo pour illustrer le problème :D

sinon, sur toshop, il y a la fonction shadow / highlights - tons clairs/foncés (à utiliser avec retenue) qui permet de déboucher les ombres (si tu veux éviter de cramer des hautes lumières sur une scène très contrastée, tu vas avoir des parties trop sombres)

Bien, je le note. Le retraitement est de toutes les façons une partie sur laquelle je suis faible et que je dois donc améliorer.

Alan te dirait : " revient à un meilleur moment" :D :D

L'heure changera la position de l'ombre. Tu peux attendre le passage d'un nuage et déclencher en rafale lorsque le bord du nuage passe sur le soleil. Mais si tu te fous de l'ombre, tu peux attendre d'avoir un ciel bien bouché pour obtenir une lumière bien diffuse (un régal en paysage). Tu peux également essayer le crépuscule et sa sublime lumière :up: :up:

Pour ce qui est de Toshop, lorsque la plage d'exposition du capteur est dépassée, tu écrêtes dans les sombre et dans les clairs : tu perds de l'info et photoshop ne peut pas te l'inventer :D :D :D

Revenir sur le lieu, c'est pas toujours faisable hein.


Merci pour vos réponses. :up:
 
J'ai trouvé le réglage, effectivement.... (Paramètres N°2 sur mon 350D).

Les paramètres autres que ceux touchant à la sensibilité, la vitesse d'obturation et le diaphragme ne s'appliquent pas sur le RAW. Ils ne sont donc pas pris en compte sur le fichier RAW. Par exemple, l'espace colorimétrique. Si tu mets sRVB, tu as une plage d'exposition plus faible et tu verras l'aperçu sur le dos de l'appareil avec un écrétage plus prononcé. Mais en fait le RAW que tu récupères sur ton mac, lui, n'a pas forcément d'écrétage. En effet, sur le dos, tu as un aperçu jpeg qui prend en compte les réglages de l'appareil (donc l'espace colorimétrique). Ce n'est pas ce que tu obtiens en réalité en RAW (toutes les données capteur).

Mais le RAW n'est pas tout puissant. Le capteur ne peut pas encaisser toutes les plages de luminances trop étendues (comme l'argentique). Une solution moderne consiste à faire du HDR.

:zen:
 
Mais le RAW n'est pas tout puissant. Le capteur ne peut pas encaisser toutes les plages de luminances trop étendues (comme l'argentique). Une solution moderne consiste à faire du HDR.

:zen:

En argentique, il y a différents types de pellicules et différents encaissements.
Il y a encaissement de lumière donc encaissement des couleurs ... ça a été une dure avancé technique cette histoire de couleurs, bien un siècle pour le maîtriser correctement.

Quant on parle de gamma en argentique, on parlent du couple : film ou papier + traitement chimique. Suivant la sensibilité de l'émulsion chimique du support (film ou papier) vont agir les photons présents dans la lumière et suivant le traitement donné apparaîtra l'image. Mais le gamma, notion de sensitométrie en argentique ne concerne que les pellicules noir & blanc.
On est loin de la perception d'une image sur un écran.
L'oeil est sensible aux rayonnements dîts visibles entre 400 et 750 nanomètres environs (Bleu Vert Rouge) avec un pic vers 550-600 nanomètres (le vert jaune). (Attention il traîne des graphiques pas très vrais sur le net)
Les films ont donc été amenés à être sensibles dans ces rayons là, grâce à des tests sur le gélatino bromure d'argent, entre autres émulsions chimiques. Mais tous sont aussi sensibles aux rayonnements inférieurs à 400 nanomètres (les UV) et beaucoup moins les Infra rouge (+ de 750 nanomètres). C'est ce qu'on appelle l'image fantôme.
En argentique ça se traduit par 6 sortes d'émulsions chimiques=6 sortes de sensibilité spectrale ayant pour comparaison la sensibilité spectrale de l'oeil. Pour le noir et blanc, les émulsions sensibles jusqu'au vert ont suffisantes pendant de nombreuses années (orthochromatique). Mais pour la couleur ils faut les trois couleurs (panchromatique). Filtre UV obligatoire dans les deux cas.

Pour le numérique, c'est plus simple : pour un capteur Rouge et un capteur Bleu, il y a deux capteurs verts. Tous le spectre de l'oeil est présent. Et l'on peut choisir son noir & blanc et sa bascule suivant les 3 couches de couleurs primaires (soit vert, soit rouge, soit bleu) ou suivant la luminance.

En argentique le Noir & Blanc n'a rendu compte que du bleu et du vert pendant longtemps et depuis peu existe les pellicules noir & blanc chromogénique utilisant tous le spectre visible.
 
En argentique, il y a différents types de pellicules et différents encaissements.
Il y a encaissement de lumière donc encaissement des couleurs ... ça a été une dure avancé technique cette histoire de couleurs, bien un siècle pour le maîtriser correctement.

Quant on parle de gamma en argentique, on parlent du couple : film ou papier + traitement chimique. Suivant la sensibilité de l'émulsion chimique du support (film ou papier) vont agir les photons présents dans la lumière et suivant le traitement donné apparaîtra l'image. Mais le gamma, notion de sensitométrie en argentique ne concerne que les pellicules noir & blanc.
On est loin de la perception d'une image sur un écran.
L'oeil est sensible aux rayonnements dîts visibles entre 400 et 750 nanomètres environs (Bleu Vert Rouge) avec un pic vers 550-600 nanomètres (le vert jaune). (Attention il traîne des graphiques pas très vrais sur le net)
Les films ont donc été amenés à être sensibles dans ces rayons là, grâce à des tests sur le gélatino bromure d'argent, entre autres émulsions chimiques. Mais tous sont aussi sensibles aux rayonnements inférieurs à 400 nanomètres (les UV) et beaucoup moins les Infra rouge (+ de 750 nanomètres). C'est ce qu'on appelle l'image fantôme.
En argentique ça se traduit par 6 sortes d'émulsions chimiques=6 sortes de sensibilité spectrale ayant pour comparaison la sensibilité spectrale de l'oeil. Pour le noir et blanc, les émulsions sensibles jusqu'au vert ont suffisantes pendant de nombreuses années (orthochromatique). Mais pour la couleur ils faut les trois couleurs (panchromatique). Filtre UV obligatoire dans les deux cas.

Pour le numérique, c'est plus simple : pour un capteur Rouge et un capteur Bleu, il y a deux capteurs verts. Tous le spectre de l'oeil est présent. Et l'on peut choisir son noir & blanc et sa bascule suivant les 3 couches de couleurs primaires (soit vert, soit rouge, soit bleu) ou suivant la luminance.

En argentique le Noir & Blanc n'a rendu compte que du bleu et du vert pendant longtemps et depuis peu existe les pellicules noir & blanc chromogénique utilisant tous le spectre visible.

En effet :up:
Mais la luminance ne peut être traitée comme ce qui se passe dans l'œil. Certes il y a le diaphragme qui mime l'iris. Seulement l'iris, extrêmement réactif, n'est qu'un élément. La rétine se compose de cellules photosensibles indépendantes. Pour ce qui est de l'intensité lumineuse, ces cellules ont une sensibilité qui s'adapte au niveau de luminance. C'est d'ailleurs un peu long, c'est pourquoi il faut un peu de temps pour y voir quelque chose lorsque l'on passe d'un endroit très lumineux vers un endroit sombre ou l'inverse. Ce qu'il faut comprendre c'est que cette adaptation est locale. C’est-à-dire qu'elle dépend de chaque cellule. Aussi, une cellule est capable de s'adapter à une forte luminance si elle est très éclairée alors que la voisine reste adaptée à une luminance plus faible. Bref, pour l'instant, la photo en est loin. D'où l'intérêt de nouvelles techniques numériques.

Pour finir, sachez qu'il n'y a pas de RAW dans la nature :D :D Le traitement de l'image commence dès le niveau rétinien et se poursuit dans le bloc gélatineux que vous avez entre les oreilles :D

Pour bien se rendre compte par l'expérience comment la vision humaine est une construction plutôt éloignée de la réalité je vous conseille de passer par .
je vous conseille surtout le pac man
 
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Réactions: macmarco