Le labo de PVPBP

Bon,j'aurai pu envoyer un message en privé a JP ,mais puisque j'ai été "incriminé" en direz sur le fil,je pense avoir un droit de réponse ...je ne le ferai qu'une fois,parce que l on va pas y passer la semaine ni en faire un fromage ...

Sur le fond,JP,tu as raison,tes critiques sont fondées, sur la technique,ma photo n'est pas irréprochable,maintenant que tu me le précises gentiment,je m'en aperçois et je l'accepte bien volontiers,et peut être que si tu avais une idée pour résoudre ces défauts ,si c'était possible bien sur ,il eut été pas mal de le préciser aussi sur ton commentaire,c'aurait été constructif pour tous ceux qui suivent ce fil ,et c'est bien le but de fil-ci,non ?
En fait,l'émotion dégagée par le gamin m'a fait penser que c'était l'une de mes plus belles photos du moment,et en plus je voulais faire un clin d'oeil a la superbe photo que Vleroy avait posté un peu avant (celle de la fille dans le bain),meme si je te l'accorde bien volontiers,elle n'est pas du meme niveau du tout que la sienne :zen: ,mais je fais avec mes moyens ...

Sur la forme,la,c'est autre chose,tu utilises un ton condescendant (en un seul mot),voir hautain,pas très sympa ,et ce n'est pas la première fois que je le remarque,tu m'avais envoyé un message il y a quelque temps ,je me souviens ou tu me disais que une de mes photos,une des rares de ma part avais tu ajouté gentiment, t avait fait ressentir quelque chose ...je t avais a l'époque répondu que je ne savais si je devais le prendre comme un compliment ou un reproche,c'est surement cette 2eme possibilité qui était la bonne finalement ...on va dire que l'on ne peut pas plaire a tout le monde,et que l'on ne passera pas nos vacances ensemble,c'est dommage,tu habites une magnifique région :love:
.
Tu me reproches de trop poster et de ne pas assez trier ...j'ai fait vite fait les comptes,j'ai posté 24 photos en 75 jours,ce qui fait 2 par semaine en gros ,on est pas encore a 1 par jour,donc,en cela,je respecte le fil ...
Je suis un photographe amateur,un peu,beaucoup,trop (rayé la mention inutile),qui accepte la critique sans problème ,elle fait progresser ,et je n'ai certes pas ton niveau ni celui de certains sur ce fil,mais penses bien que je fais plus de 2 photos par semaine,ce qui m'oblige bien a faire une sélection,et je ne garde et poste que celles que je trouves les plus belles pour ne pas trop baisser le niveau du fil,enfin,j'essaye ...

Mais de toute façon,pour être franc avec toi,je pense que vu comment tu me parles ,si je n'en postait qu'une par mois,ou voir une par an,cela serait encore trop insupportable a tes yeux .

Amitiés photographiques ... :zen:
 
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Réactions: Powerdom et albert-r
Je préviens ! Le premier qui dit que je ne suis pas charmante, il prend mon poing dans la g..... ! :D

Par contre, pour la qualité de la photo (:rolleyes:), démerdez vous avec mon papy !!!!!

DSC_0001.jpg

 
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Réactions: Powerdom et albert-r
Ne postant pas de photos mais seulement des commentaires, j'ai conscience, du fait de ne pas exposer d'œuvre personnelle à la critique, de n'avoir aucun droit à l'exercer unilatéralement sur celles d'autrui. Aussi j'entends limiter mes commentaires à l'introspection de 'moments euphoriques', lorsqu'une photo accrochée aux «Cimaises» m'a transporté. Il y a de nombreuses photos des «Cimaises» dont j'aimerais parler, mais vu la longueur de mes billets (pour laquelle je demande l'indulgence, car j'ai l'écrit naturellement étendu), je me dois d'espacer leur fréquence.

Comme la question du portrait est à la une de l'actualité dans ce fil, je saisis l'occasion de parler d'un portrait accroché il y a quelque temps par jpmiss aux «Cimaises» et qui a eu un réel impact sur moi :


Je pense qu'une photographie peut être considérée comme une peinture, parce que les deux arts ont en commun une même problématique : utiliser le plan pour rendre la profondeur. Dans le genre qu'est le «portrait», j'avoue avoir toujours été gêné par la mise-en-scène frontale : parce que moi, spectateur, j'ai directement affaire à un sujet en train de me dévisager en gros-plan, dans un face-à-face aussi dérangeant que celui d'un visage en train de me scruter dans le métro à 50 cm de distance. Un invincible réflexe de défense me pousse toujours à détourner mon regard, afin d'éviter le vertige de cette confrontation purement binaire qui n'intervient dans la vie que pour vouloir-dire l'amour ou la guerre. Et je ne veux pas qu'un tableau, ou une photo, m'impose d'aimer ou de haïr, en me plaçant dans le même type de situation de face-à-face, même si l'autre n'est qu'une image. Je trouve que ce genre de tableau ou de photo affectent brutalement le spectateur, en l'assignant à une position de fascination.

Précisément la photo de jpmiss, qui appartient au genre : «portrait», évite la mise-en-scène frontale et par cela même me libère, en tant que spectateur, de ces sortes de dévisagements. Et, comme j'ai parlé de l'assimilation que je fais naturellement entre photos et peintures, elle a immédiatement ressuscité en moi l'image d'un tableau de Chardin intitulé : «L'enfant au toton» dont je propose un visuel avec un petit trucage : j'ai inversé la symétrie horizontale du tableau, afin que l'enfant occupe la même position gauche que celle de la photo :

295192_original.png

Quoique le format des images soit différent (rectangulaire vs carré), saute aux yeux une même disposition sur la diagonale du sujet et de l'objet. Le fait que le sujet (l'enfant) soit profilé dans une attitude de fascination latérale pour un objet (ipad/toton) assigne au spectateur une position tierce privilégiée : celui qui voit sans être vu.

Cette symétrie des deux images m'aide à prendre nettement conscience des différences de 'rendu', dont deux me frappent : la profondeur et l'angle.

  • La profondeur. Dans le tableau de Chardin, c'est un trucage perspectif qui la suggère : les lignes de fuite du plateau de la table et l'entrebaillement frontal du tiroir. Ôtez ces trucages : vous avez affaire à une peinture plate, proche d'une nature morte, où les effets d'ombre et de lumière ont du mal a susciter l'impression d'un relief. Dans la photo de jpmiss, l'effet de profondeur est tout entier produit par une concentration de lumière, qui vient modeler le visage de la fillette avec une finesse de relief extraordinaire.

  • L'angle. Le tableau de Chardin est 'filmé' à 'hauteur d'homme', en une sorte de plan américain à l'horizontale, ce qui assigne au spectateur une place au même niveau que le sujet, position 'égalisante' (spectateur/sujet) qui neutralise l'expérience. La photo de jpmiss, au contraire, est 'filmée' en 'plongée', ce qui assigne au spectateur une position de 'surplomb' de la scène qui vient combiner son effet à celui de la profondeur par la lumière : c'est une sphère d'intimité minuscule, comme hors-d'atteinte d'être seulement survolée, le jardin merveilleux d'une enfance dont l'adulte est banni à jamais, qui luit de sa propre lumière sans l'emprunter à l'extérieur ; et cette sphère intime, le spectateur est appelé à s'y pencher (par l'effet de plongée de l'angle) à la manière de ces piétà des tableaux de la Renaissance qui s'inclinent sur l'enfant-christ dans une attitude absolument indescriptible. Un effet de 'sacré' s'ouvre sans que moi, qui suis convoqué à son expérience par la position du regard qui m'est assignée, je puisse résumer ou simplifier en aucun mot (bien qu'il me viennent si aisément) la nature de ce qui se passe dans mon esprit.

- voilà ce que j'appelle : l'imagination, et le fait d'être suscité à l'imagination par une image. Expérimenter un libre-jeu des facultés de mon esprit dans ma position assignée de spectateur d'une scène, sans pouvoir étiqueter cette expérience, mais au contraire être embarqué dans un processus intérieur infini de l'esprit.

Entre le tableau de Chardin et l'image de jpmiss, n'en déplaise à l'Académie, à mes yeux - il n'y a pas 'photo', comme on dit.
 
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Merci mais c'est pas une fillette, c'est mon fils et il est ceinture bleue de Taekwondo alors fait gaffe! :o

:D

Si non, dans ton analyse un truc t'a échappé en ce qui concerne l'impression de profondeur. Elle est aussi crée par l'utilisation d'une profondeur de champs réduite où seul l’œil de l'enfant se trouve dans le plan de netteté, le reste étant plus ou moins flou en fonction de la distance à ce plan.
D'ailleurs je n'ai pas connaissance de l'utilisation de ce phénomène optique en peinture pour créer l'impression de profondeur mais mes compétences en histoire de l'art sont assez limitées.
:zen:
 
J'ajouterais également à ton analyse que dans les cultures occidentales le sens de lecture se faisant de gauche à droite et de haut en bas, une image est généralement plus forte quand son sens de lecture suis le même chemin.
Il se trouve que par chance c'est le cas de ma photo car le regard commence par ce qui est le plus net et le plus lumineux (l'oeil) et file en bas a droite vers la source de la lumière et qui est l'objet de l'attention de mon fils. Je dis "par chance" car il aurait pu être installé sur le canapé dans l'autre sens et je n'aurait surement pas fait le tour pour préserver "l'instantanéité" de la photo.
Inverse l'image et tu verra qu'elle perdra de sa force. :zen:
 
Merci mais c'est pas une fillette, c'est mon fils et il est ceinture bleue de Taekwondo alors fait gaffe! :o

:D

Si non, dans ton analyse un truc t'a échappé en ce qui concerne l'impression de profondeur. Elle est aussi crée par l'utilisation d'une profondeur de champs réduite où seul l’œil de l'enfant se trouve dans le plan de netteté, le reste étant plus ou moins flou en fonction de la distance à ce plan.
D'ailleurs je n'ai pas connaissance de l'utilisation de ce phénomène optique en peinture pour créer l'impression de profondeur mais mes compétences en histoire de l'art sont assez limitées.
:zen:

En peinture, il y a le flou d'atmosphère qui est rendu depuis Léonard au moins. Mais avec Rembrandt, mais également certains Fragonard, j'ai remarqué que les parties qui ne sont pas des éléments importants de l'image sont traitées "à la hache" (à la brosse) ce qui donne une impression d'imprécision et donc de flou.

:coucou:
 
...en ce qui concerne l'impression de profondeur. Elle est aussi créée par l'utilisation d'une profondeur de champs réduite où seul l’œil de l'enfant se trouve dans le plan de netteté, le reste étant plus ou moins flou en fonction de la distance à ce plan.
D'ailleurs je n'ai pas connaissance de l'utilisation de ce phénomène optique en peinture pour créer l'impression de profondeur mais mes compétences en histoire de l'art sont assez limitées.

Effectivement : la netteté unique de l'œil, qui définit le 'point de présence absolu', organise l'effet de profondeur par échelonnement des flous relatifs qui paraissent par là plus ou moins distants. C'est le cas de dire : j'ai 'vu' (en profondeur) sans 'voir' (ce qui créait l'effet de profondeur). Tu ajoutes :

le regard commence par ce qui est le plus net et le plus lumineux (l'oeil) et file en bas a droite vers la source de la lumière et qui est l'objet de l'attention de mon fils

Tu insères ici la dimension de la lumière, ce qui stimule mon imagination vers de nouveaux jeux d'idées. J'espère ne pas être importun en continuant d'utiliser des références à la peinture comme si c'était la même chose que la photographie (ma culture photographique étant minable).

La plupart des peintres ne font jouer à la lumière un rôle dans leur tableau qu'en supposant sa source à l'extérieur du champ. Rares sont les peintres qui situent la source de la lumière à l'intérieur du champ de l'image. La raison en est 'aveuglante', justement. Si je peins alignés à une table le Christ et les 12 apôtres avec, posé sur la table devant le Christ, le vase du Graal dont le rayonnement constituerait la source unique de la lumière - le résultat va être que les participants de la scène vont être volatilisés par le cercle éblouissant de la lumière rayonnant à partir de ce foyer. Trop de lumière dissout la matière. Il faut donc faire intervenir un foyer de lumière moins intense.

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Le peintre Georges de la Tour est un spécialiste de cette mise-en-scène, où la source de la lumière intérieure au champ de l'image est une bougie. Mais, à partir de là, il est tombé sur un autre problème, et je propose en visuel ce montage côte-à-côte de 3 de ses toiles pour montrer son exploration de solutions :

295427_original.png


  • La toile de gauche est une solution à ce que j'appellerais le problème du 'Graal' : un foyer de lumière interne au champ du tableau qui éclaire trop. Il adopte donc la bougie : la source d'éclairage de l'intimité par excellence des siècles passés. Mais il se heurte à une difficulté : s'il montre la famme qui sert de foyer, il est obligé de peindre un rayonnement circulaire de lumière. Tous les éléments éclairés par ce cercle prennent alors une égale valeur : le livre autant que le visage. Pour surmonter la difficulté, il joue sur l'angle des 'objets' par rapport à la lumière : le livre est moins lumineux, car éclairé de biais ; le visage l'est plus, car éclairé en face-à-face.

  • La toile centrale trouve un truc : masquer pour la position du spectateur le foyer de lumière : la manche cache la flamme (noter qu'il est obligé de faire dépasser des 'bouts' de la bougie pour permettre d'identifier la source de la lumière). Afin de privilégier la présence d'un personnage par rapport à l'autre en terme de vivacité d'éclairage, il joue sur l'éloignement relatif au foyer.

  • La toile de droite accentue le 'trucage' : c'est un livre qui sert d'effet de manche pour cacher le foyer au spectateur, mais ce coup-ci il n'y a plus qu'un personnage à éclairer. Il y a plus même pour l'imagination, car chacun visionne aisément la blancheur éblouissante qui peut être celle des pages aussi proches du foyer, blancheur qu'on imagine sans mal venir ricocher sur le visage de l'enfant qui lit. L'illusion que la flamme n'éclaire pas directement, mais par effet de réflexion sur la page dont la blancheur éclatante est renvoyée au visage est renforcée par le décalage de la bougie un peu plus éloignée que le livre du lecteur (on notera qu'il est encore obligé de faire dépasser des bouts de bougie pour permettre d'identifier la source de lumière).

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Je sais : je suis long (c'est mon style. Je suis obligé de m'expliquer lentement les choses à moi-même par les mots, je suis incapable d'aller vite verbalement).


Par rapport au cas exemplaire de Georges de la Tour, la photo de jpmiss prend tout son relief. Car lui aussi a introduit la source de la lumière dans le champ de l'image. Mais à la différence du peintre, il n'a pas besoin d'effet de manche pour que la flamme ne disperse pas circulairement ses rayons : un iPad, en effet, est une source d'éclairage directionnel, puisque la luminosité de l'écran s'adresse par définition au visage de qui le regarde. Il suffit de montrer la tranche mince de l'objet pour que la source de lumière soit identifiable.

Je note un rapport remarquable avec la toile de droite de Georges de la Tour : le peintre organise un effet de 'ricochet de lumière' sur la page du livre comme source d'éclairage. Point n'est besoin pour un iPad, car l'écran d'un iPad est une page lumineuse. C'est donc comme si le texte illuminait directement le lecteur. Or, un lecteur, c'est d'abord un œil qui lit : organe qui, dans l'éclat du regard, présente l'esprit même en train de comprendre le sens de ce qui est lu. Georges de la Tour a manqué ce point, que la photo de jpmiss fait ressortir. L'œil est net, mais il est aussi ce qui capte le plus la lumière projetée du texte, car l'œil a l'éclat d'un regard, et pas seulement une blancheur de peau.

Je crois que cette photo a trouvé une solution au problème : comment 'filmer' la présentation du Graal, qui est une lumière produisant un 'effet de sens' immédiat à l'élu, pour un tiers privilégié du spectacle mais non de la révélation (du moins me l'imaginé-je).

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Il se trouve que par chance c'est le cas de ma photo... Je dis "par chance" car il aurait pu être installé sur le canapé dans l'autre sens et je n'aurais sûrement pas fait le tour pour préserver "l'instantanéité" de la photo

J'espère que la confrérie me pardonnera cette dernière gerbe verbale. Il existe un mot des plus confidentiel en Anglais : 'serendipity', qui tente une timide carrière en Français sous la traduction de : 'sérendipité'. Le sens de ce mot (en Anglais aussi bien) est souvent réduit à : 'bienveillance du hasard' (le fait d'être à l'improviste 'favorisé par un coup de chance'). Mais il y a quelque chose de plus dans ce mot, qui, au départ, a été créé dans le champ des sciences expérimentales, pour désigner la 'bienveillance du hasard' à celui dont les hypothèses de l'exclut pas a priori. Le sens du mot s'est élargi pour désigner le 'sourire du hasard' à celui qui, si maître soit-il de son art, sait qu'il lui faut un 'apport de chance' pour que la réussite soit complète.

J'imagine, moi qui ne suis dans le domaine photographique qu'un preneur de 'clichés' sans talent au hasard de vacations dans la nature, que la «sérendipité» pourrait bien être revendiquée par le photographe expert qui, outillé et talentueux, a conscience d'avoir à avoir de la chance pour faire une bonne photo. Nul doute alors que le hasard lui sourira.

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Dernière édition par un modérateur:
Je crois que cette photo a trouvé une solution au problème : comment 'filmer' la présentation du Graal,
Ni plus ni moins! :D

Ergu, j'aime bien ton image car garce à la verticale qui la coupe en 2 on dirait un diptyque "véhicule à moteur vs déplacement pédestre". Il manque juste un piéton dans la partie droite pour renforcer l'effet.
 
Ergu, j'aime bien ton image car garce à la verticale qui la coupe en 2 on dirait un diptyque "véhicule à moteur vs déplacement pédestre". Il manque juste un piéton dans la partie droite pour renforcer l'effet.

J'ai du bol en ce moment, vous voyez ce que je voulais montrer.
Hé, hé, hé.

Il y a aussi "extérieur vs Intérieur" - "Lumière naturelle vs lumière électrique"
On peut même, en tirant un peu par les cheveux, y voir "peuplé vs vide" (et du coup, heureusement qu'il n'y a pas de piéton à droite) et "mouvement vs immobilité"

Tous ces "vs" qui donnent presque l'impression d'un photomontage hâtif.
 
Hé, hé, hé.

Tu te fais des "Hé, hé, hé." à toi même c'est nouveau ça... :rateau:

Bon, ta photo idem JP, mais je regrette le milieu un peu trop mastoc.
 
Perso je n'aime pas la teinte générale de la photo - je lui trouve un côté un peu... "clinquant".
Mais bon, les goûts et les couleurs...


(sinon, allez voir la version "en grand" - sur celle du fil, l'immeuble en construction à gauche me semblait flou alors qu'en fait non)
 
(sinon, allez voir la version "en grand" - sur celle du fil, l'immeuble en construction à gauche me semblait flou alors qu'en fait non)
j'ai eu exactement la même impression de "mauvaise superposition" sur la version réduite.

---------- Nouveau message ajouté à 08h37 ---------- Le message précédent a été envoyé à 08h34 ----------

Merci jpmiss,

En composant plus haut, je perdais le reflet de la balise sur l'eau. J'ai du trancher ! :D
Tu parle de 2 photos. Elles t'ont servit pour faire le panoramique? Dans ce cas ça doit être 2 photos en orientation paysage. Si c'est bien ça, il aurait suffit de tourner l'appareil en mode portrait et de faire un peu plus de photos (environ 4 ou 5 a vue de nez) et tu aurait eu plus de champs en hauteur ;)
 
j'ai eu exactement la même impression de "mauvaise superposition" sur la version réduite.

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Tu parle de 2 photos. Elles t'ont servit pour faire le panoramique? Dans ce cas ça doit être 2 photos en orientation paysage. Si c'est bien ça, il aurait suffit de tourner l'appareil en mode portrait et de faire un peu plus de photos (environ 4 ou 5 a vue de nez) et tu aurait eu plus de champs en hauteur ;)

Oui c'est une bonne idée ! Après assembler 4/5 photos c'est déjà plus compliquer ! :D
À tenter la pochaient fois.