A
Anonyme
Invité
Je ne comprends pas ta remarque. Qu'est-ce qui ressemblerait à la IVe République ?Et sinon, ça permet d'éviter un château genre IVème république. Même si les mécanismes étaient inversés. Enfin, c'est comme ça que je vois les choses.
Je rappelle que le droit de révocation tel que je souhaite le voir inscrit dans la Constitution ne remet pas en cause la stabilité des institutions : le Maître est élu, sa légitimité lui vient du peuple et ne saurait être remise en question. Le Chambellan et l'Exécuteur sont, eux, nommés. Leur légitimité vient de celui/celle qui les nomme. À ce titre, elle peut leur être retirée sans créer de faille spatio-temporelle... Bien sûr, lorsqu'un scrutin est en cours, le rôle prépondérant du Chambellan interdit qu'il soit révoqué à cette occasion. Mais il suffit de préciser les choses, pas de les interdire. Parce que les interdire, c'est nier que la légitimité populaire soit plus importante que celle simplement déléguée. Et personne ne voudrait cela, n'est-ce pas ?