Mais non j'oublie pas Snape parceque vu que c'est malfoy qui est devenue le maitre, il est devenue un peu useless le snape pour recuperer la elder wand. Merci bien pour l'article.
Chuis bête en effet! Sinon Voldi n'aurait pas fait ce qu'il a fait avant d'aller à Hogwart!
Pour repondre à Spud34, je dirais que je suis d'accord sur l'énormel battage qui est fait autour de ce phénoméne, mais en même temps je me dit qu'il y a peu de bouquins comme les harry potter qui ont su renouveler un genre et passionné une génération entiére, non pas parcequ'il y a eu un buzz médiatique mais bien en fonction de la qualité de l'écriture et de l'imagination de l'auteur. Pour moi les harry potter ne sont pas des livres comme les autres, et ont peu être droit à un fil special.
Je seconde ton avis sur la série.
Une chtite anecdote. La librairie où j'ai mes habitudes est une librairie spécialisée jeunesse. Depuis le temps que j'y vais (en gros une vingtaine d'années), je connais un peu les libraires et il m'arrive de passer régulièrement une bonne demi-heure à discuter de leur boulot ou de livres. Harry Potter a été un sujet régulier de discussions et voilà en résumé ce qu'ils m'ont dit:
- En 30 ans d'existence, ils n'ont connu que 3 phénomènes: Les livres dont vous êtes le héros, la colletion
Chair de poule (je crois... bref une série de livres "qui font peur") et Harry Potter. Ce dernier écrasant les deux autres.
- Lors de la sortie du premier volume alors que personne ne connaissait l'auteur et encore moins la série, ils ont de suite repéré le livre parmi tous les autres de par sa qualité d'histoire, d'écriture, etc. Pour reprendre l'expression d'une des libraires, elle a déclaré à ses collègues qu'ils avaient découvert "un auteur". Leur avis étaient partagés par les autres librairies jeunesse et les bibliothèques car ils lui décernaient un prix (le
prix sorcière... ça ne s'invente pas!).
- Par la suite ils ont poussé ce livre et le bouche à oreille à fait le reste. Et le raz-de-marée a été accru par la sortie du premier film (à partir du 4ème livre). Mais déjà cette série était un succès. J'ajouterai que c'était à ce point un succès que les éditeurs américains ont demandé au New York Times de créer un classement "livres pour enfants" car ils en avaient assez que leurs livres ne soient plus en tête de ce classement si important aux États-Unis.
- Du côté "bémol": oui à partir d'un certain moment, il y a eu un phénomène de mode. Un enfant se devait de l'avoir lu pour ne pas être exclu à la récré. N'empêche...
Bref... on peut ne pas aimer cette série, mais si elle a eu du succès dès le premier volume, c'est parce qu'elle était très bien écrite, très bien fichue... très bien tout court.
Sinon spud34, pour revenir sur les autres points que tu soulèves:
Dire que tous les livres qui parlent de gentils et méchants traitent du totalitarisme est un brin exagéré.
Par contre, il n'est pas exagéré de dire que la question est finement abordée par Rowling dans sa série. Cette société où une forme de Big brother se met en place, où l'on doit attester de la pureté de son sang, où certains préfèrent oublier leurs principes plutôt que d'accepter la réalité, où d'autres collaborent et d'autres résistent et j'en passe... non cela ne peut que faire penser à certains événements du XXème siècle. Et je sais qu'en le résumant ainsi, je ne lui rends pas justice. Elle aborde vraiment très bien la question.
Dans la série des parallèles, vous ne trouvez pas que le fait d'être mordu par un garou rappelle un peu le sida? Cela m'a frappé lorsqu'ils vont à l'hôpital et essaient de réconforter le mordu en lui parlant de Lupin.
Quant à en parler dans le fil littéraire... oui ok... j'ai donné mes raisons pour avoir créer un nouveau fil.
Dernière question spud34, quel est ton avis sur la série en elle-même (pas sur le phénomène)?
A.